Pourquoi avoir développé QuickSer ?

 

   L’analyse des dispositifs offerts par IBM à partir de la V7 de DB2 UDB, a démontré que leur mise en œuvre pouvaient générer une optimisation très significative des temps d’exploitation et des ressources à allouer aux opérations de sauvegarde et de réorganisation des bases DB2.

   Simplifier l’exploitation, paralléliser les sauvegardes, automatiser la gestion de l’espace disque, supprimer la fenêtre BATCH, garantir la sauvegarde de tous les objets et surtout abandonner l’utilisation des « RUNSTATS » et des programmes concurrents, gros utilisateurs de CPU.

    En s’appuyant sur les utilitaires IBM, nous avons voulu faire de QuickSer un vecteur de rentabilité

      des investissements déjà réalisés par l’acquisition de DB2 d’une part, et d’autre part, une source    d’économie par l’abandon de progiciels devenus obsolètes,  sur consommateurs de ressources

      de par leur architecture propriétaire et n’intégrant pas les dispositifs de la V7 de DB2. 

     

Quels types de ressources économise-t-on ?

 

    QuickSer s’appuie pour une grande part sur l’exploitation des tables RTS (Real time Statistics).      

Il s’agit de statistiques, rafraîchies et disponibles en permanence, collectées par DB2 pour un coût CPU négligeable.

      Parmi ces statistiques, QuickSer exploite notamment celles reflétant le niveau de désorganisation des  bases ainsi que celles liées au pourcentage de mises à jour effectuées par les applications.

      L’exploitation de ces statistiques dispensent d’exécuter l’utilitaire RUNSTATS très coûteux en ressources et en temps, et qui a pour objetif de calculer ces mêmes pourcentages.

      QuickSer déclenche les opérations de sauvegarde et de réorganisation uniquement quand cela se

      révèle utile. Le DBA a, au préalable ajusté les seuils au delà desquels les opérations de maintenance sont nécessaires : plus de sauvegardes répétitives/récurrentes, longues, consommatrices, parfois injustifiées et plus de RUNSTATS systématiques.

   Avant la V7, vous avez investi dans des progiciels qui fournissaient des services absents de DB2.

Avec le V7, vous disposez de ces services, sans peut-être même en être informés. Leur disponibilité tardive est aujourd’hui compensée par le fait que ces dispositifs, plus puissants, sont notoirement moins consommateurs de ressources que les produits concurrents.

   Les exploitants ainsi que le DBA trouvent avec QuickSer un outil simple, complet, automatisé dont la formation ne requière pas plus d’une demi-journée, étant entendu que les exploitants disposent avec QuickSerde procédures immédiates  de reprise en cas d’incident.

 

L’ensemble de ces éléments concourent de par les gains qu’ils engendrent  (réduction du temps de traitement, optimisation de l’espace disque, réduction voir de suppression de la plage batch) à dégager des ressources complémentaires pour accroître la capacité de production de votre site, sans investissement supplémentaire.

 

 

Pourquoi sera-t-on en mesure de résilier des contrats de maintenance ?

 

Vous avez acquis le package des utilitaires IBM en même temps que la V7 (ou la V8 de DB2 UDB).

Ces utilitaires sont associés à un certain nombre de dispositifs qui permettent de gérer dynamiquement l’allocation des ressources utiles aux opérations de sauvegarde et de réorganisation des bases de données.

   Avant l’apparition de ces versions de DB2, pour palier à certains manquements, vous aviez souscrit des licences auprès d’éditeurs qui proposaient des solutions  structurées autour de bases de données techniques propriétaires, mais néanmoins dépendantes des montées de version de DB2.

   Désormais, IBM fournit nativement et de façon tout à fait pertinente l’ensemble de ces données techniques (RTS). 

 

De ce fait, pourquoi continuer de souscrire à des contrats de maintenance onéreux pour des données mises à disposition gratuitement ?

 

Combien de temps nécessite l’installation du produit ?

 

   L’installation de QuickSer consiste à décharger 5 fichiers. Après une validation avec le DBA de

      quelques paramètres afin de prendre en compte les spécificités du site, si elles existent, il suffit de procéder
à la génération automatique des différents JOBs utiles à  la maintenance optimale de

      chaque base de données. L’ensemble de ces opérations requière moins d’une demie journée.

   Le DBA opte à ce stade de planifier des sauvegardes/réorganisations ON LINE (pour permettre

      une exploitation 24h/24) ou OFF LINE (nécessitant le maintien d’une fenêtre de gel applicatif).

 

Comment fonctionne le produit ? 

 

   Parmi les composants de QuickSer déchargés lors de l’installation, le composant « Seuils » requière

     la validation ou l’ajustement de la part du DBA.

     Ces seuils ont pour objet de déclencher automatiquement toutes les opérations de maintenance

     des bases DB2 de votre site.

  Ces seuils sont comparés aux statistiques de RTS et sont ensuite traduits dans des SYSINs.

    Ainsi QuickSer met en œuvre le parallélisme (grâce aux « LISTDEF »), la gestion d’espace disque automatique

    ( grâce aux «TEMPLATE »).

Par exemple, il sera proposé au DBA un nombre d’extents égal à 10; cela signifie que dès que

QuickSer aura constaté par la lecture du fichier RTS que le nombre d’extents de la base de

donnée « DB01 » aura dépassé cette valeur, une réorganisation de « DB01 » devra être déclenchée.

   En parallèle, une génération de tous les jobs de maintenance, de toutes les bases DB2 de vote site

     est réalisée, en une seule fois.
     Pour chaque base de données, un PDS est créé regroupant tous les JCLs nécessaires aux opérations
     de sauvegarde et réorganisation, que vous ayez opté pour une exploitation de type 24h/24 ou pas.
    Ces JCLs sont constitués de 2 étapes :

§       la première consiste pour QUICKSER à collecter pour la base de données concernée les éléments

statistiques contenus dans RTS (enrichis par DB2 en continu), les comparer aux seuils validés  préalablement par le DBA et générer une SYSIN.

§        La seconde étape exécute une succession d’utilitaires (IBM)  qui s’appuie sur les SYSINs

      élaborées à l’étape précédente. Tous les JCLs sont réentrants et n’utilisent aucune fonction système

 

 

QuickSer uniformise les procédures de sauvegarde, de réorganisation, de restauration, intègre la prise en compte
des LOB (Large Object) ainsi que la norme

UNICODE, disponible avec la V8 de DB2.

 

QuickSer nécessite-t-il une formation ?

 

   Le DBA consacre deux heures à ajuster les seuils de QUICKSER pour que le produit intègre les
spécificités du site.

   Les exploitants sont formés plus spécifiquement à PILOTE, fonction  complémentaire de QUICKSER

     qui permet de saisir simplement les ordres SYSIN requis par QUICKSER sans avoir à se soucier de la syntaxe complexe, associée aux utilitaires IBM.  

 

   En quoi QuickSer est-il simple à utiliser ?

 

   QuickSer ne nécessite aucune intervention des exploitants dans la mesure où l’ensemble des JCLs  générés initialement n’ont à subir aucune modification au cours de leur exploitation.

Même en cas d’incident et compte tenu de l’architecture des JOBS qui est réentrante, il suffit aux exploitants
de re-soumettent les JCLs, sans les modifier :
QuickSer assure la réactualisation des SYSINs en fonction des évènements qui sont intervenus sur les bases de données
DB2

   Quant au DBA, il pilote la maintenance des bases DB2 au travers du seul composant « Seuils » qu’il

n’a besoin d’ajuster que dans de très rares cas, notamment dans le cas de bases de données particulièrement volumineuses, où il pourra être utile d’augmenter le nombre d’extents.

Enfin, QuickSer s’adapte en toute transparence à tous les sites quelle que soit leur taille.